2017, si proche…
En général en fin d’année les scénaristes se mettent la rate au court-bouillon afin de s’assurer des contrats pour le millésime à venir. Moi cette année, je fais un peu le contraire… 😉
Je ne suis pas la seule à le dire…
Je viens de lire une interview de Rebecca Zlotowski, à l’occasion de la sortie de son dernier film, Planetarium, qui fait cruellement écho à mon récent coup de coeur/gueule…
Quand je serai grande, je ferai cinéaste anglaise
Dans mon Moleskine de filmmakeuse, cette citation d’Andrea Arnold, une des mes cinéastes favorites. Ces mots plein d’humanité et de sagesse illustrent parfaitement le genre de cinéma qui m’influence, et que je souhaite faire…
Coup de foudre pour ‘Pink’ de Gus Van Sant
Parmi mes 6 lectures en cours (sic!) cette semaine, le premier et seul roman à ce jour de mon cinéaste favori, Gus Van Sant, coeur avec les doigts!!!
Filmmaking diary
Je suis sur le point de terminer mon premier Moleskine de filmmakeuse, avec une petite pointe d’émotion, je dois dire.
Deux ans de dur et ingrat labeur, en France les films mettent tellement longtemps à se faire, ou pas d’ailleurs. Hasard ou coïncidence, il y a du neuf sur ce front, exaltante perspective au moment d’entamer un nouveau carnet… #teasingdelamortquitue 😉
Copyright©Nathalie Lenoir 2016
John Cassavetes & l’écriture
A l’heure où le cinéma est de plus en plus formaté, que ce soit en terme de genre ou de recettes d’écriture, et ce des deux côtés de l’Atlantique, qu’il est bon de se rappeler que d’autres alternatives existent, et qu’elles ont porté leurs fruits… 😉
2016, l’année qui fait trèèèès envie!
Ce petit pingouin se joint à moi pour vous souhaiter une très belle année 2016, en grande partie consacrée à l’écriture et si possible couronnée de succès. Pour moi elle s’annonce d’ores et déjà totalement gniiiii, je vous raconte? 🙂
Julie Delpy, femme & cinéaste, so what?
Le week-end dernier, je faisais la queue pour ma séance bi-hebdomadaire de cinéma, feuilletant Illimité, la revue éditée par le réseau UGC, quand je suis tombée sur une interview de Julie Delpy qui m’a remplie de colère et de joie. Je vous raconte?