24 heures dans la vie d’une scénariste en vacances 2/2
Les belles-mères, voisins, banquiers, boulangères, pharmaciennes et poissons rouges ont-ils raison de clamer haut et fort que les scénaristes sont des bons à rien qui passent leurs journées à se tourner les pouces? Rien de moins sûr au vu de nos derniers reportages « 24 heures dans la vie » …
Suite des aventures existentiallo-scénaristiques de notre scénariste anonyme. Exilée de force en Bretagne avec toute sa petite famille, parviendra t-elle à oublier son (soi-disant) travail et à se détendre? Suspense insoutenable!
24 heures dans la vie d’une scénariste en vacances 1/2
En avril dernier, les lecteurs de cette chronique faisaient connaissance avec Madame X, scénariste de son état, et se délectaient semble t-il (c’est pas moi qui le dis c’est Google Analytics) de ses mésaventures existentiallo-scénaristiques. Dans un souci d’exactitude documentaire, nous l’avions observée tout au long d’une de ses (longues) journées de travail à domicile afin de voir si les belles-mères, voisins, banquiers, boulangères, pharmaciennes et poissons rouges ont raison de clamer haut et fort que les scénaristes sont des bons à rien qui passent leurs journées à se tourner les pouces.
Second reportage de la série « 24 heures dans la vie », voyons comment se déroule la journée d’une scénariste lorsqu’elle part en vacances avec sa petite famille… Read More
24 heures dans la vie d’une scénariste 2/2
Les belles-mères, voisins, banquiers, boulangères, pharmaciennes et poissons rouges le savent bien, les scénaristes sont des bons à rien qui passent leurs journées à se tourner les pouces. Dans un souci d’exactitude documentaire, j’ai donc rigoureusement espionné l’une d’entre elle afin d’infirmer ou confirmer cette légende urbaine.
Suite de notre reportage qui retrace la journée d’une scénariste lorsqu’elle « travaille » (ça reste à voir) à domicile. Quelles nouvelles péripéties l’attendent-elles?
24 heures dans la vie d’une scénariste 1/2
Les belles-mères, voisins, banquiers, boulangères, pharmaciennes et poissons rouges le savent bien, les scénaristes sont des bons à rien qui passent leurs journées à se tourner les pouces. Dans un souci d’exactitude documentaire, j’ai suivi pour vous l’une d’entre elle pendant toute une journée (en même temps, je n’ai pas eu trop de mal) afin d’infirmer ou confirmer cette légende urbaine.
Premier reportage de la série « 24 heures dans la vie », voyons comment se déroule la journée d’une scénariste lorsqu’elle « travaille » (ça reste à voir) à domicile…
Alerte à la procrastination!
Nombreux sont les jeunes auteurs qui me demandent dans leurs mails d’évoquer les aspects plus quotidiens (et moins reluisants) du métier de scénariste. Ce sera chose faite à travers cette nouvelle chronique placée sous le ton de l’humour.
Dans cette première édition, je me dois d’évoquer un mal redoutable qui menace chaque auteur, la procrastination.
A quoi reconnait-on un(e) scénariste?
Les belle-mères, voisins, banquiers, boulangères, pharmaciennes et poissons rouges le savent bien, scénariste, ce n’est pas un vrai métier. Une rumeur insidieuse voudrait qu’ils soient pourtant quelques centaines, en France, à se réclamer de cette activité professionnelle honteuse.
Plusieurs centaines?! Oh my god! Tremblez respectables travailleurs, l’invasion vous guette! Peut-être côtoyez-vous déjà, sans le savoir, l’un de ces marginaux infâmes! Comment faire pour les reconnaitre? C’est très simple, suivez le guide…
Pourquoi un scénariste doit EVITER de faire lire sa prose à ses proches
On le sait, coucher une histoire sur papier est un processus long et solitaire, un travail qui nécessite moult réécritures. A force d’avoir le nez dans sa prose, l’auteur ressent le besoin légitime de faire appel à un regard extérieur, et son choix se porte spontanément sur un (ou des) individu(s) de son proche entourage.
C’est en général là que les choses se gâtent!