Et à défaut de writing wall…

Attention article malife.com, confessions honteuses à l’appui… 😉

Résumé des épisodes précédents: au cours des années que j’ai passées hors de la capitale, je jouissais d’une graaaaande pièce communément appelée bureau, dans laquelle j’accumulais un vaste bordel tous mes gadgets d’auteure méchamment geekette sur les bords et dans laquelle je m’étais installé un writing wall d’inspiration géant. Ben oui, je suis très visuelle comme fille, comme en témoignent mes cahiers préparatoiresc’est comme ça que naissent mes idées, bonnes comme mauvaises (et puis sous la douche, mais c’est une autre histoire).

Puis vint le temps béni où je me suis réinstallée à Paris, dans un très petit appart, ce qui implique bien entendu un bureau miniature. « M’en fiche, jurais-je, armée d’une mauvaise foi d’un optimisme à toutes épreuves, plus besoin de writing wall, le writing wall c’est so 2013, le writing wall maintenant il est tout dans ma super-cervelle, vive l’épure ». Six mois plus tard, et bien, comment dire?

non writing wall

Oh, ça va hein! 😉

Copyright©Nathalie Lenoir 2016