Chaque mois de décembre, j’ai pour coutume de me réunir avec moi-même pour un bon gros bilan de l’année écoulée, histoire d’apprécier le travail accompli et de me fixer des objectifs pour l’année à venir. Il fut un peu étrange, ce millésime 2017, je vous raconte?
Après une (presque) vraie coupure estivale, qui m’a permis à la fois de me ressourcer et de lancer de nouveaux projets (on ne se refait pas), j’attaque une nouvelle saison réjouissante…
J’ai attaqué l’été sur deux bonnes nouvelles: un long-métrage qui entre en production et un contrat pour un écrire un autre, à la rentrée. Aussi ai-je pris une décision stupéfiante pour mon entourage: prendre de vraies vacances, les premières depuis… une bonne dizaine d’années. #viededingue
Larry Clark fait partie des artistes sans lesquels je n’aurais peut-être pas osé créer moi-même, l’un de ceux qui me donnent la force de continuer à écrire et mettre en images en cette période ultra formatée. L’une de ses récentes interviewes m’a particulièrement mis du baume au coeur.
La comédie cinéma que j’ai écrite pour Mustang part en prod, la préparation de mes propres films suit son cours (pas assez vite à mon goût) et mon agent bien aimée démarche avec deux nouveaux projets. C’est le moment de me lancer dans l’écriture d’un nouveau roman, happy!
Lectures et critiques croisées de mon roman par deux blogueuses littéraires, Delphine d’Au bazaar des Livres et Marion, la Dory qui lit.
Le début de l’année 2017 correspond avec l’inauguration d’un nouveau « Professional Notebook » de chez Moleskine®. Le précédent a accompagné deux ans de ma vie de filmmakeuse et mine de rien il s’est avéré aussi utile logistiquement que psychologiquement. Un bon investissement en somme… 🙂
