Des mentors, au féminin
En cette journée placée sous le signe de la femme, je souhaite remercier celles qui m’ont donné la force de croire que si, la réalisation est aussi un « métier de fille »
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Aujourd’hui j’ai vu pour la première fois sur grand écran mon film favori, celui que je choisirais s’il ne devait en rester qu’un. Merci MK2 de le ressortir en salle! <3
Premier film de Terrence Malick, « Badlands » n’est pas très connu, il a pourtant influencé maints cinéastes, de Tarantino à Sofia Coppola, en passant par Oliver Stone. Une histoire d’amour sulfureuse, un récit dont la noirceur et le cynisme contrastent avec la beauté des paysages. La vision prophétique d’une Amérique sur le point de se casser la gueule, entrant dans l’ère de la télé-réalité. On y retrouve le lyrisme dont Malick a fait sa marque de fabrique mais avec une épure, une subtilité, qu’il a hélas perdues en vieillissant.
Copyright©Nathalie Lenoir 2018
Je n’ai aucune prétention d’avoir un goût universel, ni de pouvoir graver dans la pierre quels sont les meilleurs ou les pires films de l’année, loin s’en faut. Mais puisqu’un blog sert avant toute chose à partager, je voudrais revenir sur mes gros coups de cœur, quelques jolies surprises… et grosses déceptions de 2017.
Je suis venue à la réalisation par le biais de l’écriture bien entendu, mais aussi, et peut-être surtout, par celui de la photographie. Et s’il est un chef opérateur dont le travail m’a influencée, c’est bien le regretté Harris Savides, en compagnie duquel je vous propose de passer quelques minutes inspirantes…
Source image: Indiewire
Dans l’interview qui suit, Harris Savides nous livre sa vision, pleine d’humilité et de sagesse, de ce qui fait la beauté d’une image de cinéma:
Petits hommages au travail de ce génial directeur de la photographie, qui a notamment oeuvré pour Gus Van Sant, David Fincher, Ridley Scott, James Gray, Woody Allen, Sofia Coppola, Noah Baumbach…
Copyright©Nathalie Lenoir 2017
En 2004, l’Académie des Oscars distingue le scénario d’un film intimiste, à petit budget, qui prend à contre-pied tous les canons hollywoodiens en vigueur. Dans la foulée, Lost in translation remporte plus de soixante prix dans le monde entier, conciliant cinéma d’auteur et succès public.
Hommage aux mécanismes subtils d’une écriture en apesanteur.