Chaque mois de décembre, j’ai pour coutume de me réunir avec moi-même pour un bon gros bilan du millésime écoulé, histoire d’apprécier le travail accompli et de me fixer des objectifs pour l’année à venir. Je dois dire que 2019 fut riche en stress, et frustrations, mais aussi en belles rencontres et surprises. Je crois que j’ai rarement autant appris sur moi-même que cette année…
C’est avec une immense tristesse que j’ai appris, ce matin, le décès d’Anna Karina, la muse qui m’accompagne depuis mon adolescence, au point de lui dédier un film. Ma peine est infinie…
Jim M est de retour, ou presque, dans mon film La Reine Lézard, mais nous allons avoir besoin de votre aide pour mener la seconde phase du tournage à bien…
Chaque mois de décembre, j’ai pour coutume de me réunir avec moi-même pour un bon gros bilan de l’année écoulée, histoire d’apprécier le travail accompli et de me fixer des objectifs pour l’année à venir. Il fut totalement dingue, ce millésime 2018, je vous raconte?
Après bien des galères, le scénario de mon court-métrage Le Têtard vient de recevoir la bourse Beaumarchais… et de trouver un producteur dans la foulée. Si tout va bien, je réaliserai donc deux films l’an prochain! 🙂
Scénariste (cinéma et télévision) depuis 2003 mais auteure protéiforme (romans, poésie…) Nathalie Lenoir a écrit pour la presse web & papier avant de créer, en 2010, un blog, Scénario-Buzz, qui lui vaudra plusieurs récompenses et connaitra pendant ses huit années d’existence un gros succès d’audience.
Diplômée du Cours Florent, où elle a étudié jeu d’acteur et mise en scène, et forte de son expérience de photographe (travail publié & exposé), elle se consacre désormais principalement à la réalisation.
Le tournage de son long-métrage, Quelqu’un qui m’aimera toujours, produit par Mustang productions, est en préparation, et se déroulera en région parisienne. Le scénario du films a été sélectionné dans les Coups de Coeur 2018 des Lecteurs Anonymes.
Nathalie Lenoir est membre de la SRF et du collectif 50/50. Elle est représentée par Marie-Servane Bargy de l’agence Synapsis.