Une histoire de décor
Lundi, en allant voir ´Passion simple’, j’ai beaucoup aimé le travail de Danielle Arbid et de ses superbes comédiens. J’ai aussi été fascinée par le décor principal, la façon dont il est décoré, éclairé et filmé…
Read MoreLundi, en allant voir ´Passion simple’, j’ai beaucoup aimé le travail de Danielle Arbid et de ses superbes comédiens. J’ai aussi été fascinée par le décor principal, la façon dont il est décoré, éclairé et filmé…
Read MoreTandis que je prépare le tournage de mon premier long en tant que réalisatrice, Quelqu’un qui m’aimera toujours (Mustang Productions), je me replonge dans mon moodboard et les films qui m’ont influencée pour écrire et mettre en images cette histoire.
Read MoreCes premiers jours de confinement ont été pour le moins pénibles, mais je voulais partager avec vous quelques ressources qui m’ont fait du bien… 🙂
Read MoreAubagne J-7. Immersion dans les principales influences filmiques de mon « Têtard ». Décryptage, découpage, bande-son, adrénaline…
Read More
L’un des livres qui a déclenché en moi l’envie de raconter mes propres histoires…
Je l’ai découvert ado, oublié au fin fond d’une bibliothèque, chez mes grands-parents. La couverture m’avait intriguée, ce n’était pas du tout leur genre de lectures. Publié en 1973, c’était un des rares vestiges d’adolescence de ma génitrice, ce qui avait renforcé ma curiosité.
Dès les premières lignes j’ai été totalement happée. Je l’ai lu dans l’heure, puis relu des dizaines de fois, au fil des ans. J’en ai même acheté un second exemplaire lors d’une brocante, émue de tomber dessus. Il a été (mollement) adapté par Nicolas Gessner, avec Jodie Foster et Martin Sheen dans les rôles principaux. J’ai longtemps caressé le rêve de le porter moi-même à l’écran, mais l’intrigue et son propos sont aujourd’hui obsolètes. Quoi qu’il en soit ce livre de poche est une de mes plus précieuses possession…
Copyright©Nathalie Lenoir 2018
Une de mes premières lectures d’adulte, à un âge où je n’étais pas encore sortie de l’enfance…
Un texte découvert grâce au film de Beineix, vu en cachette en VHS, chez une copine.
Une énorme claque, une révélation. Sans aucun doute un des bouquins qui m’a amenée à écrire. Je l’ai tellement relu que mon exemplaire tombe en miettes. Il m’a suivie dans mes bourlingages, il a pris la poussière. En le rouvrant tout à l’heure, j’y ai découvert quelques lignes où j’y exprimais, ado, mon émotion. Il est grand temps de m’y replonger…
Copyright©Nathalie Lenoir 2018